Conception des précurseurs et contrôle de leur assemblage

L’activité de l’axe 1 est centrée sur la conception et la synthèse à façon de précurseurs moléculaires et macromoléculaires et sur leur organisation en assemblages supramoléculaires. Elle est basée sur la conception et synthèse de précurseurs organiques, inorganiques ou hybrides ainsi que de précurseurs issus des bio-ressources. La conception à façon des briques de base permet de mettre au point leurs assemblages grâce au contrôle des interactions coopératives ou compétitives mises en jeu. Le contrôle des interactions aux interfaces, notamment organiques-inorganiques, est la clé de l’élaboration maîtrisée par chimie douce de matériaux hybrides et/ou poreux. Les matériaux formés sont caractérisés par des techniques avancées permettant de sonder les interactions locales ou à l’échelle mésoscopique, associées à des études par modélisation computationnelle multi-échelle (micro et mésoscopique). Les précurseurs inorganiques peuvent être des molécules, des complexes organométalliques, des clusters ou colloïdes ; ils incluent des précurseurs de silice, d’oxydes métalliques ou d’oxydes mixtes. Les entités organiques peuvent être des sucres, des polymères d’origine naturelle : polysaccharides, tannins, alginates ou chitosanes, mais aussi des polymères préparés à façon avec un contrôle de l’architecture et de la fonctionnalité. Dans le cas des Metal Organic Frameworks (MOFs), des nouvelles briques de base organiques (ligands) et inorganiques (clusters métalliques) sont développées. Des précurseurs hybrides et même bio-hybrides (mimant par exemple les acides aminés, collagènes…) sont aussi conçus et synthétisés.

Les activités de l’axe 1 sont aussi focalisées sur l’étude des interactions entre ces précurseurs et sur la maîtrise de la formation d’assemblages supramoléculaires contrôlés à partir des unités de construction. Ces études sont réalisées en utilisant les techniques spectroscopiques et de diffusion du rayonnement (lumière, neutrons, rayons X) couplées, le cas échéant, à la modélisation moléculaire. Les interactions entre tensioactifs et entre polymères sont caractérisées, avec, selon leur nature (hydrophobe, complexation électrostatique, liaisons hydrogène etc), une attention particulière portée à l’influence sur la micellisation, de paramètres physico-chimiques (température, pH, force ionique etc). Le contrôle des interactions permet une maîtrise des propriétés (tailles caractéristiques, morphologies) des assemblages micellaires qui sont utilisés en tant qu’agents structurants des matériaux poreux et hybrides (objet de l’axe 2). Les études portent sur les micelles de copolymères amphiphiles, les micelles induites de copolymères à blocs double-hydrophiles, soit de type micelles complexes électrostatiques de polyions, soit de type micelles complexes de coordination. Un effort particulier concerne la conception et la formation d’agents structurants originaux, générateurs à la fois de mésostructures ordonnées et de fonctionnalités en préambule aux travaux de l’axe 2. Les interactions entre briques organiques et inorganiques sont également très largement explorées car elles jouent un rôle majeur dans la formation de l’interface des nanomatériaux hybrides structurés.

Nos spécificités 

  • Grande variété de briques de base : naturelles et synthétiques, organiques, inorganiques et hybrides
  • Approches éco-compatibles à plusieurs niveaux : nature des précurseurs, voies d’assemblage douces et modularité des plateformes. 
  • Couplage expérience-modélisation.
Permanents impliqués : Johan ALAUZUN, Karim BOUCHMELLA, Bruno BOURY, Nicolas BRUN, Carole CARCEL, Sylvain DUTREMEZ, Pierrick GAUDIN, Corine GERARDIN, Olinda GIMELLO, Gilles GUERRERO, Nathalie MARCOTTE, Ahmad MEHDI, Gaulthier RYDZEK, Rocio SEMINO, Nathalie TANCHOUX, Corine TOURNE-PETEILH, Michel WONG CHI MAN, Pascal YOT, Jurek ZAJAC.

Ingénierie des matériaux : contrôle des structures, textures, morphologies et fonctionnalités

Les activités de recherche de l’axe 2 sont centrées sur l’élaboration de matériaux poreux et hybrides par des réactions de polycondensation organique ou inorganique selon des voies douces et éco-conçues, notamment via des voies sol-gel aqueuse, organique ou non-hydrolytique.

Nos projets relèvent de l’ingénierie des matériaux, et ont pour but de contrôler les textures et morphologies aux échelles moléculaires, mésoscopiques et macroscopiques. Le contrôle de la mise en forme s’étend de la préparation de nanoparticules, films et fibres jusqu’aux monolithes. Nous nous intéressons au contrôle des dimensions et de l’organisation des pores, mais aussi aux morphologies et fonctionnalités des matériaux. Le contrôle des textures et des morphologies est le plus souvent recherché de façon concomitante, comme dans le cas des matériaux à porosité hiérarchique (cas des monolithes méso-macroporeux obtenus par décomposition spinodale), des nanoparticules mésoporeuses de tailles contrôlées, ou encore des gels de polysaccharides fonctionnels. En effet, l’objectif est de développer de nouvelles approches qui permettent non seulement une intensification des voies d’élaboration des matériaux texturés, mais aussi in fine une intensification des procédés catalytiques. De plus, les voies d’élaboration que nous développons doivent satisfaire, autant que possible, aux principes de la chimie verte, en évitant les solvants organiques, en économisant matière et énergie, et en utilisant des ressources renouvelables.

Une large gamme de matériaux est couverte : matériaux poreux cristallins tels que zéolithes et MOFs, matériaux mésoporeux inorganiques ou hybrides aux structures ordonnées (silice, oxyde de titane, oxydes de métaux de transition, organosilice), matériaux hybrides fonctionnels, incluant des hydrogels, des silices fonctionnalisées de type PMO (Periodic Mesoporous Organosilica), des ionosilices et ionogels, mais également des matériaux biosourcés, incluant des hydrochars, ionochars, charbons actifs et aérogels.

Le contrôle des fonctionnalités des matériaux est un objectif majeur. Il regroupe le contrôle de la nature, de la densité et de la distribution spatiale des fonctions par des approches de post-greffage ou bien en utilisant des précurseurs et agents structurants fonctionnels. Les champs d’applications des matériaux étudiés couvrent des domaines divers tels que la catalyse, la séparation/échange et le traitement de l’eau, l’énergie, le stockage de gaz, la biologie, la chimie fine ou le génie des procédés.

Nos spécificités:

  • Grande diversité des approches.
  • Vers une intensification des procédés d’élaboration
  • à Contrôle simultané des structures, fonctions, et formes
  • Couplages chimie douce et procédés physiques.
  • Matériaux multifonctionnels adaptables.
Permanents impliqués : Johan ALAUZUN, Tangi AUBERT, Karim BOUCHMELLA, Nicolas BRUN, Thomas CACCIAGUERRA, Carole CARCEL, Jullien DRONE, Anne GALARNEAU, Corine GERARDIN, Gilles GUERRERO, Peter HESEMANN, Nathalie MARCOTTE, Ahmad MEHDI, Hubert MUTIN, Bénédicte PRELOT, Didier TICHIT, Corine TOURNE-PETEILH, Pascal YOT.

Adsorption et phénomènes aux interfaces

Les recherches qui relèvent de ce thème concernent la caractérisation et la compréhension des propriétés d’adsorption et des phénomènes aux interfaces sur des matériaux fonctionnels. La particularité de l’ICGM dans ce domaine, est de développer des méthodes à la fois expérimentales et théoriques, à partir des phases liquides ou gazeuses, sur des surfaces solides ou dans des matériaux poreux. Il s’agit de caractériser essentiellement les matériaux de grande surface ou présentant des réactivités spécifiques, qu’ils soient élaborés au sein du département ou issus de collaborations extérieures. Ces phénomènes d’adsorption s’appliquent dans de nombreux domaines, et les champs d’applications sont principalement en lien avec le développement durable ou la santé : séparation, dépollution, stockage ou conversion de l’énergie, vectorisation, catalyse et photocatalyse.

Les études expérimentales mettent en œuvre des mesures d’adsorption à l’aide d’appareillages volumétriques ou gravimétriques développés en interne, couplés à des calorimètres pour accéder non seulement à des capacités d’adsorption mais aussi aux données énergétiques des interactions mises en jeu. Un objectif majeur est la caractérisation de la chimie de surface et la prédiction de l’affinité des matériaux pour des espèces qui peuvent être des polluants, des principes actifs ou encore des gaz que l’on cherche à séparer. Il est aussi possible de déterminer la composition de la phase vapeur au cours de l’adsorption, par couplage d’une cellule gaz et mesure infrarouge in situ. Des études DRX in situ sont aussi mises en oeuvre pour caractériser l’évolution structurale des matériaux sous l’effet non seulement de l’adsorption mais aussi de l’action couplée adsorption/contrainte mécanique dans le cas de MOFs flexibles, ce qui nécessite un effort particulier pour le développement de cellules de mesures adéquates. Un appareillage de séparation chromatographique sur colonne remplie permet par ailleurs l’étude de la sélectivité des matériaux sur des mélanges de liquides organiques en présence éventuellement d’humidité. Ces approches expérimentales sont, le cas échéant, couplées pas à pas à des approches théoriques combinant des méthodes quantiques et de modélisations moléculaires en champs de force de façon à prédire les propriétés d’adsorption et de séparation de l’ensemble des matériaux étudiés et au-delà comprendre les mécanismes d’adsorption à l’échelle microscopique, ce qui constitue un atout particulier du département dans ce domaine.

Parmi les applications prometteuses explorées, on peut citer la purification de l’air ou du gaz naturel avec le développement de MOFs pour le captage sélectif de molécules toxiques (CO2, SO2, NO2, H2S), l’exploitation des MOFs, zéolithes et silices mésoporeuses fonctionnalisées pour la détection et le captage de composés organiques volatils (acide acétique, formaldéhyde…) dans le cadre de la protection d’objets du patrimoine et des systèmes embarqués dans le domaine du spatial (CNES) ou bien encore l’utilisation de carbones poreux et de MOFs pour la protection des civils et des militaires vis-à-vis d’armes chimiques.

Au-delà de leur intérêt fondamental, les matériaux MOFs flexibles sont aussi envisagés pour leur utilisation dans le domaine de la séparation de gaz. Nous développons une approche expérience/simulation (Dynamique Moléculaire basée sur l’utilisation de champs de force flexibles) pour traiter de la complexité de ces systèmes qui a permis de prédire de nouveaux concepts de captage du CO2 basé sur l’utilisation de MOFs flexibles dont l’ouverture de la porosité est contrôlée par l’application d’un champ électrique ou d’une pression mécanique pour permettre l’adsorption sélective de CO2 vis-à-vis d’autres molécules comme CH4 and N2. Ce même concept a été ensuite appliqué à la séparation du propane/propylène.

D’autre part, nous nous intéressons à la physicochimie des interfaces solide/liquide dans des matériaux nanostructurés inorganiques, hybrides ou polymères. Les objectifs principaux sont la compréhension des interactions mises en jeu et l’organisation des espèces adsorbées aux interfaces, l’analyse des effets compétitifs et/ou synergiques entre la chimie de surface, la structure de l’eau interfaciale, ainsi que l’adsorption et les effets de solvatation. Des approches multi-échelles de l’adsorption d’ions et de molécules par ces matériaux nanostructurés sont en cours, et elles s’appuient sur des techniques d’optique non linéaire, depuis le montage et le développement de dispositifs expérimentaux, jusqu’à la modélisation du signal, ainsi que sur d’autres techniques locales, spécifiques des interfaces, in situ et operando, sur grands instruments (Absorption X avec EXAFS et XANES, XPS en conditions ambiantes). Ces projets sont en lien avec les domaines de la santé et de l’environnement, avec des applications en séparation, encapsulation, vectorisation, dépollution et décontamination. En particulier, la dépollution de l’eau et le traitement des effluents liquides sont au cœur des applications explorées. Par ailleurs, nous continuons de porter une attention particulière à la modélisation des phénomènes aux interfaces solide/solide qui sont présents dans les systèmes composites formés par l’association de polymères ou d’oxydes de graphène et de MOFs. Cette thématique qui implique le développement de nouveaux outils de modélisation multi-échelles implique l’exploration du transport moléculaire au sein de ces systèmes composites.

Parmi les propriétés des matériaux hybrides et inorganiques, nous explorons les propriétés de conduction protonique à l’aide de mesures de spectroscopie d’impédance complexe couplées à des simulations numériques afin d’identifier les meilleurs candidats pour cette application et au-delà proposer les mécanismes microscopiques à l’origine de ces propriétés. Ces études ont déjà permis de mettre en évidence une série de MOFs dont les conductivités s’approchent des performances de celles du Nafion.

Par ailleurs, une approche originale de l’axe 4 concerne le développement d’outils de simulation moléculaire et de champs de force permet non seulement de prédire par des approches de High-Throughput screening (Monte Carlo & Dynamique Moléculaire) mais aussi de rationaliser les performances d’une large variété de solides poreux pour in fine découvrir de nouvelles architectures in silico et ainsi orienter la synthèse vers des matériaux innovants. A travers de fortes interactions avec des groupes reconnus internationalement dans le domaine de la synthèse de matériaux poreux, ces avancées ont déjà permis d’identifier de nouveaux matériaux poreux aux performances exceptionnelles pour des applications dans le domaine de l’adsorption de gaz toxiques, de contaminants de domaine spatial et de l’eau pour des applications dans le transfert de chaleur. Nous pouvons souligner plusieurs exemples avec les MOFs MIL-100, KAUST-8 et KMF-1 qui apparaissent comme des adsorbants aux performances uniques pour la purification du gaz naturel et de l’air et pour des applications dans le domaine des pompes à chaleurs. Ces approches de modélisations moléculaires sont couplées à des mesures d’adsorption et des tests de capteurs réalisées en interne. Des approches de simulations quantiques (DFT et ab initio) permettent aussi d’étudier localement les interactions entre les molécules et les sites d’adsorption et au-delà dériver de nouveaux champs de force.

Nos spécificités : 

  • Interfaces solide / gaz, solide / liquide et solide / solide
  • Approches couplées  théorie-expérience
  • Méthodes calorimétriques.
  • Développements expérimentaux en interne
Permanents impliqués : Yohann BALE, Dorothée BERTHOMIEU, Sabine DEVAUTOUR-VINOT, Anne GALARNEAU, Gaelle GASSIN, Pierre-Marie GASSIN, Peter HESEMANN, Guillaume MAURIN, Hugo PETITJEAN, Bénédicte PRELOT, Jérémy RODRIGUEZ, Gaulthier RYDZEK, Rocio SEMINO, Philippe TRENS, Jurek ZAJAC.

Catalyse hétérogène et réactivité de surface

L’étude de la réactivité de surface des matériaux poreux et hybrides et l’étude de leurs propriétés catalytiques sont regroupées au sein de l’axe 4. Les approches suivies sont à la fois fondamentales et appliquées. Elles allient des études expérimentales et théoriques, essentiellement quantiques, ce qui est une force du département. Les performances des matériaux fonctionnels élaborés par des approches de chimie verte au sein du département sont évaluées dans des procédés de catalyse hétérogène incluant la biocatalyse, l’organocatalyse, la photocatalyse et l’électrocatalyse. A l’inverse, l’application envisagée peut certaines fois également guider le cahier des charges du matériau catalytique adéquat.

Parmi les thèmes majeurs abordés, il faut citer la valorisation catalytique de petites molécules. En particulier, la transformation et la valorisation de CO2 sont explorées au moyen d’approches surtout fondamentales, notamment avec des catalyseurs de grande surface spécifique de type oxydes mixtes obtenus à partir de complexes de polysaccharides. La valorisation bio-(électro)catalytique de CO2 est également étudiée via l’immobilisation d’enzymes sur des supports carbonés poreux et/ou hybrides.

La valorisation de la biomasse est une priorité de la recherche en catalyse du département, en particulier à travers des projets sur l’extraction et la dépolymérisation de la lignine pour l’obtention de molécules plate-forme. D’autre part, des activités centrées sur la conversion catalytique de molécules bio-sourcées en biocarburants par des matériaux multifonctionnels à porosité hiérarchisée, de type zéolithes à mésoporosité organisée, sont développées. On peut aussi citer la production par voie catalytique de grands intermédiaires (eg. oléfines légères) à partir du bioéthanol. Des applications de chimie fine sont étudiées en présence de catalyseurs supportés sur mousses issues de bio-ressources telles que les alginates fonctionnels. Un autre thème abordé concerne l’évaluation des performances en catalyse hétérogène de matériaux mésoporeux ordonnés innovants, fonctionnalisés par des chaînes de polymères fonctionnelles dont la nature et la densité des fonctions peuvent être contrôlées. On s’intéresse en particulier aux matériaux qui présentent des propriétés acides maîtrisées.

Concernant l’intensification des procédés en catalyse, électrocatalyse, et biocatalyse avec immobilisation d’enzymes, l’élaboration de nouveaux monolithes zéolithiques, siliciques, alumines ou matériaux carbonés permet d’optimiser les propriétés de transfert de matière et de chaleur pour un grand nombre d’applications: l’oligomérisation et la métathèse de l’éthylène, la valorisation du méthylmercaptan et sa conversion en oléfines et aromatiques, la valorisation du CO2 et la dépollution des eaux et des sols. Pour les applications nécessitant des débits importants et de faible perte de charge, comme le traitement biocatalytique des eaux contenant des molécules pharmaceutiques ou pesticides, des monolithes de grands diamètres de macropores sont nécessaires. Des synthèses de monolithes de silice, d’alumine, à base de carbone et de zéolithes (LTA, FAU-X, ZSM-5, MOR, FAU-Y, BEA) sont actuellement développées à l’intérieur de moules de structure tridimensionnelle préparés par impression 3D en polymère. Le greffage d’enzymes sur les monolithes siliciques et carbonés est optimisé pour les traitements biocatalytiques. Enfin, la catalyse par des ions de métaux de transitions dans des matériaux poreux continue d’être développée au sein du département, par des méthodes de chimie quantique, en relation étroite avec des données expérimentales.

Il faut souligner la cohérence des études développées dans cet axe, qui allient 1) l’utilisation de matériaux catalytiques préparés par des voies de chimie verte, et notamment à partir de ressources renouvelables, 2) le développement d’approches ayant pour objectif l’intensification des procédés catalytiques et enfin 3) des projets ciblant des défis en catalyse liés aux domaines de la valorisation des bio-ressources et de la protection de l’environnement. Enfin, il faut ajouter que les transformations catalytiques concernent des composés sources qui couvrent une large gamme de molécules en C1 aux polymères naturels de hauts poids moléculaires.

Nos spécificités :

  • Valorisation des ressources naturelles
  • pour la préparation des matériaux catalytiques et pour leur conversion catalytique.
  • Couplages entre optimisation de la réaction catalytique et intensification des procédés catalytiques.
  • Approches combinées expérience-modélisation
Permanents impliqués : Yohann BALE, Dorothée BERTHOMIEU, Christine BIOLLEY, Bruno BOURY, Nicolas BRUN, Claudia CAMMARANO, Gérard DELAHAY, Francesco DI RENZO, Jullien DRONE, Anne GALARNEAU, Pierrick GAUDIN, Olinda GIMELLO, Vasile HULEA, Hugo PETITJEAN, Nathalie TANCHOUX, Didier TICHIT, Michel WONG CHI MAN.